Dimanche, 10 décembre 2023
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Vassula, vraie prophète

1) Titres de gloire de Vassula

Tous ceux qui ont pris la peine de rencontrer Vassula personnellement sont unanimes à reconnaître son remarquable équilibre. C’est notamment le cas de Mgr René Laurentin, qui relate ses rencontres avec Vassula dans son ouvrage, Qui est Vassula ? (1994, F.X. de Guibert).

Malgré cela, Vassula, en sa qualité de femme et de prophète, a été la cible d’attaques réitérées de la part de ses détracteurs qui, eux, estiment superflu de la rencontrer. Sans la connaître personnellement, les ennemis de Vassula s’en sont pris au trésor de tout être : son équilibre psychique et affectif qui, selon eux, serait gravement perturbé.

C’est ainsi que, parmi les qualificatifs malveillants dont ils traitent Vassula, nous relevons :

- égocentrique ;
- prétentieuse ;
- anormale ;
- orgueilleuse ;
- fausse modeste ;
- folle ;
- illuminée ;

Cette liste de qualificatifs malveillants attribués à Vassula par ses détracteurs n’est pas exhaustive, et sans doute n’est-elle pas close.

Les ennemis de Vassula ont nié, ensuite, qu’elle fût persécutée. Sous prétexte que la violence dont ils font preuve n’est pas physique, détruire la réputation de Vassula ne serait pas de la persécution. Or, il est des mots qui font plus de mal que bien des coups.

Quand vous dites aux adversaires de La Vraie Vie en Dieu que Vassula est sincère, de prime abord, ils ne vous le contestent pas : "Bien sûr, bien sûr que Vassula est sincère, disent-ils, puisqu’elle croit sincèrement que c’est Jésus qui lui parle dans La Vraie Vie en Dieu, mais c’est quand même elle qui écrit tout !" Ou bien : "Quoique Vassula soit persuadée que c’est Jésus Qui lui dicte Son texte, c’est elle qui en est quand même intégralement l’auteur ! Parce que c’est une folle."

C’est contre toute logique qu’ils insinuent que Vassula n’aurait pas tout à fait conscience d’être l’auteur de son propre livre.
Autrement dit, Vassula serait une sorte de folle. Elle ferait du délire mystique. Vassula serait délirante...

2) Analyse graphologique de l’écriture de Vassula

Un graphologue, Monsieur J.A. Munier, expert en écritures près de la Cour d’appel de Paris, a analysé l’écriture de Vassula. Et telles sont ses conclusions :

Interprétation des grands caractères dictés de la main de Jésus :
- (Force tellurique formidable)
- Enthousiasme enclos avec une composante hédonique, c’est-à-dire semblant générateur d’une sorte de bien-être
- Est imprégnée d’une force qui la dépasse.
- Investie par des forces invisibles auxquelles elle réagit avec une sorte de simplicité primitive, alors qu’il y a aussi, dans d’autres secteurs, un élément raffiné chez elle.
- Convaincue par la puissance de l’invisible qu’elle perçoit avec intensité.
- Est un intermédiaire comme un centre de transmission et d’amplification.
- A une foi mystique.
- Ressent une sorte d’enthousiasme tranquille, comme une plénitude.
- Est très dédoublée, alimentée par une force invisible comme indestructible.
- Un peu étrange, aux yeux du sens commun, en tout cas.
- Très appliquée : élève docile.
- Est comme dans un état second, indifférente au monde extérieur.
- Peut percevoir des mondes invisibles fort bien, comme un médium.
- Très grande force concentrée. Introversion riche.
- Ne s’appartient pas. Une certaine raideur.
- Un grand contrôle de soi-même, probable dans son maintien.
- A "de la tenue".

Interprétation subsidiaire des fragments graphiques intercalaires en écriture plus petite :
- Personnalité qui vit dans son univers.
- N’est pas folle.
- Est assez intelligente pour le moins.
- Suit sa logique propre.
- Capable d’une certaine intégration.
- A des ménagements de délicatesse, de la gentillesse, de la douceur.
- Suit un but. Est appliquée vers ce but.
- Ressent une inspiration de niveau élevé.
- Sa vie est éclairée par un idéal.
- Rien d’autre ne compte pour elle véritablement.

On peut toujours alléguer qu’une analyse graphologique ne prouve rien. En attendant la preuve que cette analyse ne prouve rien, nous ne manquerons pas de nous y référer pour inviter à réfléchir tous ceux qui prétendent que Vassula n’est bonne qu’à vouer aux gémonies.

3) Vassula est pleinement consciente de ce qu’elle écrit

D’après ses calomniateurs, cette prétendue folle - Vassula - n’aurait pas conscience de ce qu’elle écrirait. Mais cette prétendue folle a elle-même réfuté, dans "son" livre, les arguments qui accréditent sa prétendue folie et fait montre, par ses arguments - "qu’elle prêterait à Jésus", dès lors qu’on la considère comme une folle - d’un solide bon sens et d’une grande sagesse. Que l’on nous explique cela…

« Si tu dis que cette Œuvre Divine tout entière vient du subconscient, alors, explique-Moi la maîtrise et les enseignements de ces écrits venant de quelqu’un qui n’a aucune connaissance même en catéchisme élémentaire. » (Message du 2 novembre 1997. Cahier 91)

Les adversaires sont tentés de répondre : "Mais alors, ce serait une folle et un faussaire qui avait prévu qu’on dirait qu’elle est folle et qui, comme un faussaire, avait pris la précaution, avec intelligence, de démentir sa folie." Autrement dit, ce serait une folle intelligente et prévoyante. Ce ne serait plus une folle, à tout le moins, une folle où le monde l’entend...

Admettons qu’elle le soit quand même. La folle peut nier qu’elle est une folle ; elle s’en tient à le nier. Mais la folie ne raisonne pas. (Ou je crois que l’on va enfermer beaucoup de monde.)

Si Vassula est folle, comment se fait-il que nous ne le soyons pas comme nous sommes appelés à l’être, à la manière des « fols en Christ » de l’Orient ? Et en Occident, où sont nos « fols en Christ » ?

4) Si Vassula était folle, sa folie mériterait un autre nom : l’art

Avant de produire l’œuvre de La Vraie Vie en Dieu, Vassula n’avait, de toute sa vie, jamais rien écrit. Elle n’avait aucune formation théologique et n’avait même pas suivi de catéchisme. Et voilà que depuis 1985 elle s’est mise à rédiger jour après jour une œuvre dense, cohérente, dont la teneur a été publiée au fur et à mesure de sa rédaction, œuvre qui a conquis les théologiens qui l’ont lue.

S’il fallait supposer, comme le prétendent les ennemis de Vassula, que l’auteur de cette œuvre est une « folle », il faudrait alors supposer qu’il s’agit d’une « folle » en pleine possession de ses moyens, puisqu’elle a pu produire du premier coup une œuvre magistrale et cohérente. Une soi-disant « folle » en pleine possession de ses moyens qui produit du premier coup un volumineux chef-d’œuvre, cela ne s’appelle pas une « folle », cela s’appelle tout simplement un écrivain authentique !

Il n’est dès lors plus question de dire que Vassula est « folle ». L’unique question est désormais de savoir comment Vassula a pu produire l’œuvre de La Vraie Vie en Dieu.

Cette œuvre, rédigée sur quelque vingt ans – et publiée dès le début dans le monde entier au fur et à mesure de son avancement – compte, dans son édition en un seul volume sur papier bible, plus de 1200 pages !

- Que l’on nous cite le cas d’un homme ou d’une femme devenu écrivain du jour au lendemain ;
- Que l’on nous montre quels livres, quelles thèses, quels mémoires, quels articles, Vassula a écrits, avant que d’écrire La Vraie Vie en Dieu ;
- que l’on nous montre, enfin, ses diplômes en théologie, en rhétorique et en linguistique (licence, doctorat...),
et nous croirons qu’à défaut d’être folle, Vassula est l’auteur de La Vraie Vie en Dieu…

Or, pour avoir écrit La Vraie Vie en Dieu, il faudrait que Vassula eût élaboré son projet des années à l’avance, ce qui, compte tenu de ses occupations d’alors (peinture, tennis, mannequinat), est, vous l’admettrez, plus qu’improbable.

- Qu’elle eût lu et relu la Bible, au point de la très bien connaître ;
- qu’elle eût étudié la théologie,

  • la christologie,
  • l’eschatologie,
  • la théologie trinitaire,
  • a mystique chrétienne,
  • l’exégèse,
  • la théologie fondamentale,
  • la mariologie,

encore, cela n’est rien !

Il eût aussi fallu que cette théologienne méritante et appliquée eût appris à bien écrire. Est-il si aisé de bien écrire ?... Que chacun réponde en conscience et par expérience... Croire bien écrire est une chose ; y parvenir en est une autre. Comme le dit si bien Molière, dans sa pièce dénonçant l’hypocrisie religieuse :

« On n’exécute pas tout ce qu’on se propose,
Et le chemin est long du projet à la chose. »
Tartuffe III, 1

Si Vassula était le brillant créateur que nous imaginons, en somme, un véritable écrivain, sa maison n’aurait-elle pas dû être pleine de livres ? Quant à ses ami(e)s, n’étaient-ils pas censés nous parler d’une intellectuelle plongée du matin au soir dans les ouvrages savants ?

Tels ne sont pas les témoignages que nous avons sur Vassula...

Car on peut faire semblant d’être docteur en théologie, on ne peut faire semblant d’être un poète.

Gérard Pascal